Femmes
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Proposition de loi modifiant l’arrêté royal du 28 août 1963 relatif au maintien de la rémunération normale des travailleurs pour les jours d’absence à l’occasion d’événements familiaux ou en vue de l’accomplissement d’obligations civiques ou de missions civiles, visant à ajouter le motif de fausse-couche dans la liste des petits chômages.

La proposition de loi vise à ajouter le motif de fausse-couche dans la liste des événements donnant lieu à l’octroi des petits chômages, étant donné le choc psychologique que cela provoque tant pour la femme qui en est victime que pour l’autre parent.

Instaurer une circonstance aggravante en cas de coups, de blessures ou d’empoisonnements à l’encontre d’une femme enceinte, ayant entraîné la perte de l’embryon ou du fœtus.

Instaurer une circonstance aggravante en cas de coups, de blessures ou d’empoisonnements à l’encontre d’une femme enceinte, ayant entraîné la perte de l’embryon ou du fœtus.

Lutter contre la maigreur excessive dans le mannequinat

L´anorexie est une maladie qui touche 8% de la population principalement les jeunes filles , le confinement a vu ces chiffres encore augmenter . C’est une maladie multifactorielle évidemment mais l’identification des jeunes par rapport aux modèles dont on leur dit qu’ils correspondent en tous points aux standards de beauté , est dévastatrice. Nous devons légiférer et faire stopper cette dictature du « corps parfait » en changeant les mentalités.

Réforme du Code Pénal sexuel : séance plénière du 17 mars 2022

Avec votre Code Pénal sexuel et la manière dont vous traitez la prostitution exposant les victimes à de l’exploitation, les auteurs à de l’impunité et des services de police encore plus démunis en moyens et en possibilité d’enquêter, vous ne donnez pas à l’Etat sa mission d’assurer la sécurité et le respect des droits de chacun.

L’enquête menée par le Comité P relative à l’accueil des victimes de violences intrafamiliales

Quand je vous entends dire que vous venez à peine – et c’est juste – d’hériter de ce rapport du Comité P, je rappelle que le problème de la formation, des référents, de l’accueil des victimes dans les commissariats n’est pas neuf. Il ne date pas du 19 janvier, date du dépôt de ce rapport. Il est plus que temps de passer à la vitesse supérieure! J’entends aussi que le covid a ralenti une série de choses. La pandémie ne dure pas depuis cinq ans non plus, ni d’ailleurs depuis le nombre d’années que les partis politiques mettent le dossier de l’accueil des victimes sur la table! Il est plus que temps d’agir car c’est aussi la garantie que les victimes puissent aller déposer une plainte parce qu’elles auront le sentiment d’être entendues et d’être considérées comme telles.