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Voilà pourquoi nous pensons que la loi « Pandémie » du gouvernement Vivaldi n’est pas acceptable en l’état.

L’objectif est d’empêcher l’adoption en l’état de cette loi qui est inacceptable. Elle heurte notre attachement aux droits et libertés fondamentaux et à la démocratie parlementaire. La manière dont elle confisque les pouvoirs du Parlement -comme représentation des citoyens au profit du gouvernement au-delà de ce qui est nécessaire justifie notre opposition sans faille. Nous acceptons que pour des mesures d’urgence des délégations au gouvernement soient possibles, mais pas qu’elles permettent de prendre des mesures qui perdurent.

Payer pour se rendre sur les chantiers! Inacceptable et discriminant pour les ouvriers!

Je suis complètement abasourdie par cette pratique administrative injuste…Mercredi en Commission Finances à la Chambre, j’interrogeais encore une fois le ministre des finances sur le fait que les ouvriers de la construction sont tenus de payer une ATN (Avantage Toute Nature) pour l’utilisation des véhicules de l’entreprise pour se rendre sur les chantiers, des véhicules utilisés seulement à des fins professionnelles et durant les heures de travail.

Pensions alimentaires impayées : la Vivaldi persiste dans son refus d’un paiement plus rapide aux familles monoparentales

Permettre aux familles monoparentales d’obtenir plus vite leurs contributions alimentaires en cas de non-paiement (40% des cas) en donnant au juge la possibilité d’inscrire d’emblée la délégation de sommes dans son jugement. Tel était l’objet de ma proposition de loi inscrite à l’ordre du jour de la séance plénière de ce jeudi 1er avril.

Double droit passerelle pour les commerces ouverts sur rendez-vous : le cdH appelle le gouvernement à honorer ses promesses!

Le 23 mars dernier, à l’issue du CODECO qui annonçait un nouveau tour de vis, le ministre Clarinval annonçait que tous les commerces jugés non-essentiels toucheraient le double droit passerelle, y compris ceux qui pouvaient ouvrir sur rendez-vous.

Pour une plus grande transparence quand les machines décident pour vous!

Qu’y a-t-il sous le capot des algorithmes ? Quelles données ? Selon quelles règles et à quelles fins ? Les Etats, Commission européenne en tête, ont coutume d’adresser ce type de questions à Facebook, Google ou Amazon, eux qui ont fait de nos traces de vie l’or noir de leur modèle économique. On oublie un peu vite que les autorités publiques elles-mêmes manipulent une masse gigantesque de données à caractère personnel. Appliquent-elles à elles-mêmes ce devoir de transparence exigé aux Gafas ?