Crise de l’asile
Ces septante personnes-ci sont-elles seulement la face immergée de l’iceberg? Je le pense sincèrement. Ce dont elles ont peur, c’est d’être de nouveau abandonnées à la rue, de nouveau dans des conditions incertaines. Quel est votre engagement par rapport au fait qu’en attendant Fedasil, vous êtes certaine qu’elles ne bougeront plus et qu’elles ne seront pas blackboulées vers un autre centre, vers une solution transitoire qui ne sera pas une solution?