L’agrandissement des zones de police
L’agrandissement des zones de police

L’agrandissement des zones de police

Vanessa Matz (Les Engagés): Madame la ministre, effectivement, nous avons été assez surpris par vos déclarations sur votre vision de la police moderne, en tout cas selon vos propres mots. Vous justifiez l’agrandissement des zones de police en déclarant ceci: « Sur la base de recherches d’experts, de conclusions des états généraux de la police et d’entretiens avec les collaborateurs de terrain, je propose d’évoluer vers des zones de police d’au moins 500 policiers opérationnels d’ici 2030, par le biais de fusions volontaires. De cette manière, notre pays comptera alors une quarantaine de zones de police ». Si effectivement, c’est peut-être une réflexion à mener, je pense comme d’autres que les priorités de la police dans son ensemble, et plus particulièrement des polices locales, ne se situent évidemment pas dans le fait de savoir si elles doivent fusionner ou pas de manière volontaire.

Vous dites toujours « dans un premier temps sur base volontaire ». Est-ce à dire que dans un second temps, vous envisagez la contrainte? Les enjeux sont évidemment ceux du financement. Je vous rappelle que dès le début de la législature, nous avons déposé une proposition de loi qui est toujours pendante. Nous avons mené de nombreux travaux sur des auditions par rapport à la révision de la norme KUL et du financement de ces zones de police. Nous avons abordé la question de la formation et de meilleures collaborations avec la police fédérale pour la répartition des tâches. On sait que notamment, la police fédérale doit venir en appui de la police locale. On voit à bien des égards que c’est souvent l’inverse. Il semble que cette priorité soit un peu anachronique par rapport aux enjeux qui doivent présider à votre réflexion.

Lors de la précédente législature, il y a déjà eu une réflexion sur le sujet. Les experts avaient déclaré que les zones de police étaient viables à partir d’un effectif minimal de de 75 policiers. Ce chiffre est évidemment très loin des 500 policiers que vous avancez. Par conséquent, je souhaiterais savoir sur quelle base ce chiffre de 500 a été avancé.

Qu’est-ce qui le justifie? Votre projet paraît bien ambitieux puisque sur les 184 zones de police actuelles, il en resterait, à terme, seulement une quarantaine. Pour l’étude précitée, il ressort, dans le chef des autorités locales, une volonté de renforcer la collaboration entre les zones de police, mais il n’en ressort pas une volonté de fusion. Dès lors, comment comptez-vous atteindre votre objectif? Quel est l’état d’avancement de ce projet actuellement? S’agissait-il d’une réflexion qui vous passait par la tête ou est-ce déjà une idée sur laquelle vous avez avancé, notamment avec l’administration, et pour laquelle vous comptez présenter un projet avant la fin de la législature?

Annelies Verlinden, ministre: Mijnheer de voorzitter, chers collègues, tout d’abord, en ce qui concerne les questions relatives aux états généraux, les différents partenaires-clés ont retroussé leurs manches au cours des deux dernières années, en vue d’identifier les défis qui s’imposent à la police et de formuler des recommandations pour l’avenir. Les résultats des nombreuses tables rondes et des séminaires ont été rassemblés dans une publication qui me sera remise lors de l’événement de clôture en date du 21 mars. Elle contiendra des recommandations concrètes – ce qui était le but des états généraux. À partir de là, nous pourrons développer la future direction de la police.

Bien entendu, notre réflexion sur l’avenir de la police ne se cantonne pas aux états généraux. À partir de plusieurs thèmes qui ont été traités, nous allons l’approfondir dans les mois à venir. Ainsi, les conclusions des groupes de travail sur les fonctionnalités de base et le financement seront présentées ce mois-ci à la Commission multidisciplinaire. Je leur ai proposé comme objectifs, premièrement, de préciser la nature d’un service de police de base équivalent et de le relier à certaines normes et, deuxièmement, de déterminer si des financements supplémentaires sont possibles, en complément au financement général. Je pense, par exemple, à un service payant de la police.

La réforme du modèle de financement général constitue la prochaine étape. Néanmoins, étant donné son importance et son impact majeur, nous devons l’entreprendre en toute connaissance de cause. Une mission de recherche a été lancée dans le but de dresser un portrait de la santé financière des différentes zones de police. Elle devrait se poursuivre durant six mois. Cette image sera employée lors d’analyses ciblées qui serviront de base à l’élaboration d’un nouveau modèle de financement durable, en concertation avec les zones de police, les communes et les autres partenaires. Un élément-clé de la recherche est la répartition entre le financement communal et fédéral. C’est un dossier qui est évidemment complexe. Néanmoins, je souhaite tracer les grandes lignes d’une nouvelle loi de financement sous cette législature.

Velen onder u hebben ook vragen gesteld over de schaalvergroting. Vooreerst zie ik het als minister van Binnenlandse Zaken als mijn taak om problemen correct te analyseren en te benoemen en daarbij uitdagingen in kaart te brengen en de juiste oplossingen op de rails te zetten. Met de toelichting over de schaalvergroting van de politiezones wil ik ook het pad effenen voor de toekomst. Het is duidelijk dat wij dat in de komende maanden niet allemaal meer zullen kunnen realiseren, maar het is wel mijn ambitie om het traject voor te bereiden, zodat vanaf 2024 concrete stappen kunnen worden gezet. Overigens spreken lokale overheden, in casu burgemeesters, en korpschefs mij geregeld aan met de vraag welke richting zij moeten uitgaan om de toekomst van de politie voor te bereiden.

Sommige vaak al te kleine politiezones kunnen niet langer het hoofd bieden aan complexe uitdagingen, waardoor de kwaliteit en de aard van de dienstverlening aan de burger soms ernstig verschilt van zone tot zone. Kleine zones met te weinig operationele, logistieke en administratieve medewerkers zijn vaak niet meer uitgerust om de huidige en toekomstige, zone- en grensoverschrijdende uitdagingen gelinkt aan de strijd tegen drugssmokkel, cybercrime en mensenhandel en aan gespecialiseerde hulp aan bijvoorbeeld slachtoffers van seksueel misbruik of intrafamiliaal geweld aan te gaan. In grotere zones is meer specialisatie mogelijk, waardoor zij beter kunnen voorzien in de gespecialiseerde politiehulp die de mensen vandaag verwachten van de politie. Minder politiebegeleiding, minder bijstand, minder zichtbaarheid van de politie zijn dus geenszins de bedoeling, wel het aanbieden van de juiste en kwaliteitsvolle diensten aan de bevolking.

Het is voor mij ook heel duidelijk dat de schaalvergroting geen besparingsoperatie kan of mag zijn. Integendeel, voor mij betekent schaalvergroting dat men de krachten bundelt en dat men meer kan doen met dezelfde middelen. Door een efficiëntere inzet van politiemensen en – middelen kunnen wij onze bevolking een kwaliteitsvolle dienstverlening garanderen.

Schaalvergroting betekent niet dat de werking nabij van politiezones teloorgaat. Integendeel, volgens mij kan schaalvergroting ervoor zorgen dat politie net dichter bij de mensen komt, waar ze de politie nodig hebben, omdat er ingezet wordt op voldoende wijkcommissariaten, met wijkinspecteurs op het terrein, die de eerste ogen en oren van de politiediensten zijn, commissariaten die dynamisch en flexibel kunnen worden georganiseerd, bijvoorbeeld door hen te huisvesten in grote winkelcentra of postkantoren, dichtbij de mensen.

De organisatie van de politiezone op een grotere schaal laat precies een heel gerichte en adequate wijkdienstverlening toe. Onze wijkinspecteurs zijn cruciaal om bijvoorbeeld voortekenen van jeugddelinquentie, huiselijk geweld of zelfs terrorisme sneller te detecteren. Wijkinspecteurs kunnen ook helpen bij bepaalde recherche. We moeten dus blijven zorgen voor een goede doorstroming van wat de wijkinspecteurs aan informatie verzamelen naar de lokale recherche en de zoneoverschrijdende recherche zoals de FGP of het federaal parket. Studies tonen alvast aan dat de organisatie van de lokale politie in grotere zones de synergie met de federale politie ten goede komt.

Vandaag is er inderdaad te weinig specialisatie bij de lokale zones, waardoor de taakverdeling tussen de federale en de lokale politie vervaagt. Met sterke lokale zones kan er heel gericht ingezet worden, bijvoorbeeld ook op lokale recherche, waardoor de federale politie zich ook zal kunnen herdefiniëren en haar capaciteit opnieuw ten volle kan oriënteren naar de kerntaak van doorgedreven specialisatie en ondersteuning. De nieuwe uittekening van die relatie draagt dus bij tot een efficiëntere efficiënte dienstverlening.

Vous m’avez demandé sur quelle étude on s’est basé pour donner cette direction. Je peux faire référence à l’évaluation quantitative et qualitative de l’université de Gand et du consultant Idea Consult, qui ont mené cette étude et évalué les dix zones de police ayant déjà fusionné.

Le rapport final du 11 octobre 2022 donne un peu plus d’explications à ce sujet et il en ressort que la majorité des chefs de corps visent une échelle de 300 à 500 collaborateurs opérationnels. Au niveau judiciaire, les répondants ont quant à eux, en corrélation avec le PLP 10, mentionné un nombre minimum de 500 collaborateurs opérationnels.

Sur la base d’entretiens avec des experts et collaborateurs sur le terrain, j’ai aussi la même conviction. C’est la raison pour laquelle, très concrètement, j’ai proposé d’évoluer vers des zones de police d’au moins 500 collaborateurs de police opérationnels d’ici 2030 par le biais de fusions volontaires. Notre pays ne comptera ainsi plus qu’une quarantaine de zones de police. Voor de fusies geldt – dit is voor mij zeer belangrijk – het principe van de vrijwilligheid, waarbij het proces naar samenwerking en schaalvergroting door de zones zelf wordt geïnitieerd. Ik heb inderdaad een aantal genoemd, maar dat was om een antwoord te geven op de vragen die ik soms tijdens plaatsbezoeken of interviews krijg. Hoe dan ook, dat neemt niet weg dat wij fusies moeten faciliteren en zones helpen bij het fusioneren. Wij moeten dat mijns inziens doen met een vernieuwde financieringswet waarin de herziening van de KUL-norm wordt opgenomen. Daarnet heb ik mijn ambitie daaromtrent al uiteengezet.

We moeten de dingen natuurlijk wel in de juiste volgorde doen. Het begint met het definiëren van de ambitie, namelijk de totstandkoming van zones die minstens 500 operationele personeelsleden tellen. Vervolgens moeten wij zorgen voor nieuwe financiering. De multidisciplinaire commissie werkt daaraan en het is de bedoeling om haar aanbevelingen of ideeën, die wij tegen het einde van de maand verwachten, in een concept uit te werken, dat vervolgens vorm moet geven aan de nieuwe financieringswet. Er zal nog wel wat water naar de zee vloeien, want het betreft natuurlijk een ingewikkelde aangelegenheid met aanzienlijke budgettaire consequenties. Dat moeten we dus niet overnight doen.

Men vroeg of er zal worden overlegd met de betrokken actoren. Het lijkt mij cruciaal dat na het formuleren van de ambitie en de uittekening van een concept van financiering een traject van overleg over een financieringsmodel met vakbonden, korpschefs, lokale besturen en alle andere betrokken actoren start, ook al zal die oefening des te complexer worden door de steeds weerkerende vraag om meer middelen van de lokale besturen. Wellicht is dat ook de reden waarom veel van mijn voorgangers hun tanden stukbeten op de herziening van de KUL-norm. Ondanks de roep van oudsher naar een herziening daarvan, is men daarmee nooit verder opgeschoten.

Voor mij is het ook wenselijk dat de gouverneurs een coördinerende rol in het proces van de schaalvergroting van de politiezones opnemen.

Daarom zal ik de voordelen van schaalvergroting toelichten en vragen over het wettelijk kader en de financiële impact daarvan beantwoorden tijdens een volgende bijeenkomst van de conferentie van gouverneurs. De samenwerking met de gouverneurs hebben wij al voorbereid. Via de verbindingsambtenaren bij de diensten van de gouverneurs hebben wij namelijk al gepolst naar de politiezones met interesse om te fuseren of die reeds gesprekken hebben opgestart, aangezien de gouverneurs dat wel elk voor hun provincie in kaart kunnen brengen.

Hoe zullen wij het proces naar schaalvergroting faciliteren? Naast de financieringswet en de samenwerking met de gouverneurs is er nog een instrument, met name de ondersteuningscel Schaalvergroting bij de FOD Binnenlandse Zaken, die sinds begin 2023 operationeel is en die volgt op het moment drie concrete fusietrajecten op, namelijk de politiezone Rivierenland, de politiezone Aalter-Maldegem en de politiezone Binche-Anderlues-Lermes. De voorbije vier jaar zijn er trouwens reeds vier politiezones gefusioneerd. Men kan best practices in die dossiers meenemen en ter beschikking stellen van de zones die een fusie overwegen.

Er was ook een vraag over de link met de regiovorming in Vlaanderen. Die regiovorming is opgezet los van de schaalvergroting van de politiezones. De Vlaamse ministerraad heeft op 23 december vorig jaar de oprichting van een Vlaams-federale ambtelijke werkgroep voor de fusie van gemeenten goedgekeurd, die een analyse zal maken. Er zal worden onderzocht welke knelpunten in de huidige bevoegdheidsverdeling de organisatie en de werking van lokale besturen bemoeilijken. Ik heb echter begrepen dat die werkgroep momenteel nog niet is samengeroepen.

Ik laat opmerken dat die regiovorming een Vlaamse aangelegenheid is. Wij hebben geen tegenhanger in Wallonië. Om die reden kan men niet zomaar de Vlaamse regio’s kopiëren voor de federale dienstverlening, zoals politie- of hulpverleningszones. Bovendien zijn die regio’s zeer divers. Zo zijn de regio’s in Limburg en die in West-Vlaanderen heel anders samengesteld en is de omvang ervan heel verschillend. Het is dus niet evident om het concept van de regio door te trekken naar politiezones. Dan heb ik het nog niet over het feit dat regio’s verschillende gerechtelijke arrondissementen overstijgen.

Er was ook een vraag over de link met de hulpverleningszones. Voor mij valt er absoluut iets voor te zeggen om fusies van politiezones af te stemmen op die van de hulpverleningszones en veiligheidszones te creëren. De fusies op dat vlak zijn trouwens ook spontaan gegroeid. Dat sterkt mij alvast in mijn overtuiging dat de gouverneurs een coördinerende en superviserende rol kunnen spelen, gouverneurs die al zicht hebben op de hulpverleningszones. Ik wil niet van bovenaf één model opleggen en lijntjes trekken voor wat zou moeten werken. In mijn ideale wereld groeit dat van onderuit, maar uiteraard wel met de nodige begeleiding waar gewenst. Monsieur Thiébaut, concernant les questions sur les dotations, vous savez que mi-janvier de cette année, j’ai signé l’arrêté ministériel pour la correction de la dotation fédérale de base pour 2022.

Ce montant complémentaire a entre-temps été versé à toutes les zones de police. Il s’agit d’une correction de 55 millions d’euros. La différence entre le montant mentionné lors de l’établissement du budget 2022 et le montant final versé aux zones est de 13 %, ce qui est plus que l’inflation annuelle. Nous soutenons en tout cas les zones de police pour compenser la forte inflation.

Par rapport à votre question pour le futur, moi, je veux bien! C’est d’ailleurs aussi la raison pour laquelle nous avons dû attendre de pouvoir signer cette circulaire l’année passée. Nous avons des règles de budget. Il faut se concerter avec la secrétaire d’État au Budget. Nous sommes tenus par ces règles. Nous ne pouvons actuellement confirmer l’indexation qu’au moment où nous avons la certitude de l’ampleur de l’indexation. C’est la raison exacte.

Nous ne pouvons pas donner de l’argent, parce qu’autrement, nous devrions demander aux communes de reverser ces budgets si l’évolution n’était pas celle attendue. Personne ne peut prédire le futur. Ce n’est pas facile. Je comprends les demandes des communes et des zones de police, mais je crois qu’il faut être créatifs. Je suis disposée à en discuter avec vous, parce que je comprends ces demandes; mais nous ne voulons pas non plus installer un système qui ne serait vraiment pas pratique, où nous devrions redemander l’argent aux communes. Je peux m’imaginer que ce ne serait pas agréable non plus.

Collega’s, de fusie van politiezones is een belangrijke uitdaging en de tijd gaat nu eenmaal snel. Het is geenszins zeker of we de hele oefening binnen de tijd die ons deze legislatuur nog rest, tot een goed einde kunnen brengen. Dat neemt niet weg dat we vooruit op de lange termijn moeten durven te kijken en de toekomst voorbereiden, zonder dat we daarbij de moeilijke vragen uit de weg gaan. Het zou voor mij veel gemakkelijker zijn om het debat daarover terzijde te schuiven en mij op de urgente dossiers van vandaag te focussen, maar dat zou niet de juiste keuze zijn. Ik begrijp dat er nog veel vragen zijn; die hebben wij ook. De ambitie was om ergens te starten, een richting te geven en daarop voort te bouwen, uiteraard in overleg met alle stakeholders, die we trouwens nog in geen enkel debat buitengesloten hebben, wat we ook de komende maanden met het belangrijke thema van de fusie niet zullen doen.

Vanessa Matz (Les Engagés): Merci madame la ministre pour votre réponse extrêmement complète. J’ai un peu l’impression que, dans ce dossier, on a mis la charrue avant les bœufs et qu’on n’a pas fait progresser de la même manière l’ensemble des dossiers: celui du financement et peut-être celui d’un certain nombre de situations qui nécessitent, sur base volontaire, des restructurations ou des agrandissements de zones parce que de trop petites zones ne peuvent plus faire face au nombre de missions qui sont demandées. De là à en faire une réforme générale et structurelle pour l’ensemble du pays, je pense que vous allez un pas trop loin. Il n’y a pas de demande sociétale ou générale de la part des services de police sur cette question. Il n’y pas de nécessité que cela soit ainsi. D’autres l’ont dit. Lorsqu’on réfléchit à des économies d’échelle sans considérer les vraies demandes de terrain, on est forcément presque toujours à côté de la plaque, et on passe à côté d’objectifs. On ne répond pas aux besoins des personnes de terrain, mais pas non plus aux besoins de sécurité de la population.

Il faudra donc évidemment calibrer et être juste par rapport au projet. Qu’il y a ait un accompagnement et une incitation financière pour certaines qui voudraient passer le pas et qui n’osent pas le faire pour l’instant, oui évidemment. Mais je pense que décliner cela sur l’ensemble du territoire n’est pas nécessaire à ce stade. Ce n’est pas demandé, ni souhaité, ni souhaitable. Je vous remercie.

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